Samedi 24 mai 6 24 /05 /Mai 19:11

Premier chapitre de Lui ou Elle =D
J'avoue, il n'est pas trop trop long mais bon, y fallais que j'm'arrête à des moment plus ou moins précis x) donc voila loOol


Sinon... mercredi [donc le 28] c'est mon dernier jour de cours ! Aprèèès vacancessssssssss pendant 3 mois *O* donc bein j'm'arrangerais pour écrire plus souvent huhuhihihaha
Pis voila... à part ça j'suis d'humeur meurtière... quelqu'un est d'accord que j'me défoule sur lui là ? TT.TT

M'enfin j'me tais ça vaut mieux
x'(

Bisou à touuuuuuuuut le monde =D
(L)




_______________________________________________________________






Le soleil venait sur ma peau, non pas maintenant, laissez moi dormir encore un peu ! Mais rien n’y fit, et, la musique de mon réveil se joignit aux rayons lumineux sur ma peau. Huit heures et demie… Qu’est ce que j’aurais voulut dormir plus longtemps mais bon, il fallait que j’aille bosser et même si j’étais rentré à cinq heures, je ne pouvais pas rester dans mon lit. Heureusement que j’aimais mon boulot ! En quoi consistait-il ? Prendre diverses photos en rapport avec des articles journaliers et les faire parvenir aux agences concernées. Tout cela me plaisait beaucoup, j’étais indirectement libre…

Mes journées n’étaient pas si identiques les unes des autres ce qui me plaisait plus ou moins, mais ma vie n’était pas des plus parfaite ! D’ailleurs… je ne cherchais pas une vie parfaite, je voulais juste pouvoir trouver un peu de bonheur, de temps en temps.

Je me mis à repenser à cet homme que j’avais vu la veille… Il fallait que je fasse des recherches sur ce château, pour en savoir plus sur lui ! Je voulais le revoir… son timbre de voix si sinistre, ses longs cheveux… je commençais inconsciemment à fantasmer sur une personne que je ne connaissais pas, que je n’avais vu que la nuit, éclairée par la lune… et pourtant… il me paraissait parfait, différent… J’y retournerais, ce soir, avec mon appareil photo, en espérant en découvrir un peu plus ! Mais en attendant je ne devais pas être en retard à mon travail !

 

Je me dépêchais donc de sortir de ma maison. Je pris le bus qui s’arrêtait au coin de ma rue, ce genre de bus déjà tellement pleins que l’on devait faire le voyage debout, en plein milieu de l’allée, mais j’attardais peu d’importance à cela.

J’arrivais avec quelques minutes d’avance. Mes jambes me conduisirent vers la machine à café de l’agence pour en prendre deux, un pour moi et un pour mon meilleur ami, Ryan, qui travaillait dans cette même agence. Je frappais à la porte de notre bureau à l’aide de mon coude, mes mains étant occupés à tenir les deux gobelets réchauffés par la boisson. La porte s’ouvrit sur un grand homme aux cheveux blonds, très clairs.

 

- Salut Ryan !

- Keith !

- Tu nous fais quoi là à taper comme un bourrin contre cette pauvre porte ?

- Râle pas ! Déjà que j’te ramène ton café !

- Ohhh, merci mon p’tit choux à la crème que j’a…

- Ouè bon exagère pas hein !

 

Il avait commencé à rire, se moquant amicalement de moi mais aussi des conneries qu’il pouvait déballer et, dans ces cas là, je ne pouvais que me joindre à lui dans un fou rire incontrôlable. Comme Ryan disait souvent des trucs idiots ou insensés nos explosions de rire étaient assez fréquentes.

Nous discutions de tout et de rien quand quelqu’un frappa à la porte de notre bureau. Cette personne rentra finalement avant même avoir eut notre accord ; le patron.

 

- Salut vous deux ! Bon, cette fois je ne viens pas vous déranger pour n’importe quoi, dans dix minutes on a une réunion, soyez présent !

- On sera là. Répondit Ryan.

 

Notre supérieur sortit de la pièce. C’était un homme d’une cinquantaine d’années, grand, maigre, toujours en forme, nous avions vraiment de bonnes relations avec lui.

Ryan prit quelques documents et me les remit. Il en prit lui aussi quelqu’un pour pouvoir noter plusieurs choses. Quelques minutes plus tard, nous nous retrouvions tous autour d’une grande table. Un homme que nous n’avions encore jamais vu prit la parole.

 

- Pour commencer je voudrais tous vous remercier pour votre présence ici ! Maintenant je vais entrer dans le vif du sujet. Certaines personnes de l’agence et moi-même avons prit la décision d’enquêter sur le château qui est le centre de plusieurs légendes urbaines !

 

Devant le silence de tout le monde, l’homme se tourna vers notre patron et le questionna.

 

- Monsieur Miller, il nous faudrait un journaliste et un photographe, pouvez-vous nous proposer deux personnes compétentes ?

- Bien sûr ! Il se tourna vers nous. Keith, Ryan, vous pouvez vous en occuper ?

- Sans problèmes ! M’empressais-je de répondre.

 

Mon meilleur ami me regardait, interrogateur face à mon enthousiasme mais je lui expliquais que cette histoire m’intéressait, il fit semblant de me croire mais, je pense ne pas avoir été assez convainquant.

Nous sortions de la salle pour retourner dans notre bureau. Nous voulions classer le plus de documents possible pour, par la suite, pouvoir nous concentrer entièrement sur l’affaire qui nous a été confiée.

Midi. Ryan a prit la décision de m’inviter au restaurant, thaïlandais, pour être plus précis. Ça lui arrive de temps en temps, (quand il  de l’argent en trop dans son porte-monnaie), mais je ne vais pas m’en plaindre et comme c’est lui qui invite, je vais pouvoir manger autant que je veux (mais tout de même avec un peu de modération). Après être installé, après avoir commandé, Ryan me regardait attentivement pour finalement prendre la parole.

 

- Keith, qu’est ce qui te rend si heureux d’être sur cette affaire ?

- Rien de spécial, ça m’intéresse, c’est tout !

- Pleins d’affaires t’ont déjà intéressées ! Mais jamais à ce point ! Tu sais mon chou, je te connais assez pour savoir si tu es sincère dans ce que tu dis ou non et là, je vois bien qu’il y a autre chose alors va z’y je t’écoute !

- Bon, si t’insiste… enfèt hier soir en revenant d’une soirée, j’avais la flemme de prendre le grand chemin pour rentrer chez moi et j’ai donc décidé de prendre des petites rues pensant que c’était un peu moins long…

- Alors que c’était plus long !

- Oui. Ensuite, assez épuisé, je me suis posé sur un banc quand un mec est venu…

- Hohooo ! Et t’as fais quoi ?

- Arrête de m’couper ! Donc il est venu et il m’a dit que j’étais dans sa propriété  et il m’a demandé de quitter les lieux ! Et devine où j’étais ?

- Dans la propriété qui "appartient" au château… ?

- Ouè !

- Mais pourquoi a-t-il dit que c’était sa propriété alors que ce château est en vente depuis des siècles ?

- Justement c’est ça qui est bizarre !

- Pourquoi tu lui as pas demandé ?

- J’étais troublé… ce mec dégageait quelque chose de très étrange…

- Attend tu va pas me dire que t’as eu un coup de foudre ?

- Nan ! Mais je sais pas il m’intrigue beaucoup ! Il n’était éclairé que par la lumière de la pleine lune, je ne le voyais donc pas parfaitement bien, mais il paraissait si beau, si mystérieux, si…

- Ouè bon ça va hein ! M’en fait pas tout un roman !

- Désolé…

- Ça te dit qu’on y aille ce soir ?

- Où ça ?

- Bein voir ta princesse tiens !

- C’est pas ma princesse !!!

- Bon bein ton prince si tu préfère !

- Ryan t’es lourd là !

- Je sais mais j’aime t’embêter. Nan mais sérieusement, ça te dit qu’on commence notre enquête dès ce soir ?

- Ouè ouè ouè !!!

- "ouè" ou "ouèèè !!!"

- Euh… ouèèè !!!

 

Ryan commença à rire devant mon air si enfantin, il aimait me mettre dans des situations embarrassantes, il aimait quand je rougissais comme un enfant mais grâce à cela, j’allais le revoir, j’avais enfin une bonne raison de le revoir !

 

 

_______________________________________

 

 

 

Je me réveillais, il était quinze heures, dehors il faisait encore jour mais la lumière naturelle ne pénétrait pas dans notre demeure. Il faisait presque tout noir, seul quelques lumières faibles et tamisées éclairaient un peu les lieux. Tout le monde dormait encore je me retrouvait donc seul à ne rien pouvoir faire d’autre que d’attendre la nuit. J’avais eut du mal à m’endormir la veille, cet homme sans cesse dans ma tête. Ça ne m’arrivais pas souvent de craquer à ce point sur quelqu’un, et encore moins sur quelqu’un comme lui mais pourtant, il semblait différent des autres.

J’espère le revoir mais je me doute qu’il revienne de lui-même alors j’irais, dans quelques jours, même si je ferais mieux de ne pas y aller (pour mon bien, pour son bien…). Je sais aussi que si Royd est au courant, il ne me laissera pas sortir ou alors il fera en sorte que je me fasse suivre par l’un des notre… mais il faut que je le revois ! Il le faut…

Par Tsukiyo - Publié dans : Lui ou Elle [en cours]
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Mercredi 21 mai 3 21 /05 /Mai 16:59
Bonjouuur tout le monde `(^o^)/
Bon alors voila avec un peu [beaucoup] de retard je vous publie ce quatrième chapitre de S.L. =D
Excusez moi quand même pour ce retard et pour ce manque répétitif de vie ici XD [euh... c'est compréhensible c'que j'dit ? x(]
Mais j'avoue quand même que ce chapitre est pas génialement long -_-" m'enfin bon... c'est mieu que rien huhuhihihaha

Merci beaucoup à tous les p'tits gens qui me suivent encore =P
Bsouuu et bonne lecture à tous (L)




__________________________________________________






Après le repas, un homme entra dans la salle. Hayden le regardait attentivement, il l’avait déjà vu, une fois…

 

- C’est son majordome, John… Il est pas chiant ! Bon ok il ferait pas mal de choses pour Ludwig mais il est cool !

- Ah… Je me disais aussi que je l’avais déjà vu.

 

Le grand homme roux se plaça en face de tous les chiens présents dans le réfectoire. Il chassa nerveusement les quelques mèches qui venaient picoter ses yeux et passa sa langue lentement sur ses lèvres pour les humidifier. Il finit par prendre la parole.

 

- Bon… vous êtes tous présents ici et donc je peux vous parler des mesures qu’à prises my lord ! Effectivement, dans quelques minutes, vous pourrez tous aller au centre ville vous amuser un peu et dépenser l’argent que nous vous procurerons ! Alors… pour commencer il faudra que vous soyez minimum deux ! Ne soyez jamais seuls ! Vous avez beau dire que vous ne serez pas vu, croyez moi, vous serez surveillés ! Et donc aucune échappatoire ! N’essayez pas de vous enfuir ou quoi que ce soit sinon vous souffrirez encore plus. Sur ces belles paroles… vous pouvez aller vous préparer si vous en avez besoin ! Et avant de partir, à côté de la grande porte d’entrée, nous vous donnerons à chacun de l’argent et un plan ! Bonne après-midi à tous.

 

Après ce petit discourt presque inutile, le grand roux sortit de la pièce, sans se retourner. Les autres hommes restèrent là, silencieux. Corry prit la main de son ami et l’entraîna hors du réfectoire, ils montèrent rapidement dans leurs appartements pour chercher deux trois objets pour cet après-midi. Puis ils descendirent, ensemble, et allèrent vers la grande porte où ils étaient censés se présenter avant de partir.

Les deux amis avaient vite reconnu que c’était leur très cher maître qui attendait à la grande porte vitrée. Hayden avançait, tiré par Corry qui était plus rassuré que lui.

 

- Ah bonjour Corry !

- Bonjour.

- Tiens voilà ton argent ! Mille euro ça te suffit pour une après-midi ?

- Oui.

- Bon alors amuse toi bien.

 

Le blond sortit laissant Hayden seul devant le grand brun. Ludwig avait sourit en voyant Hayden aussi gêné.

 

- Bein alors mon toutou on dit plus bonjour ?

- B… bonjour.

- Ah quand même ! Bon toi aussi tu reçois mille euro ! Ne les dépense pas n’importe comment !

- Oui…

 

Hayden s’apprêta à sortir quand Ludwig lui souleva le menton plantant ses grand yeux verts dans ceux de son soumit.

 

- Tu as encore mal ?

- …

- Je viens de te poser une question !

- Oui… j’ai encore mal.

- Alors fais attention et revient en forme.

- D’accord…

- Bonne journée mon chéri.

 

Le visage du brun s’illumina d’un énorme sourire ironique alors que son soumit sortait lentement du bâtiment, les bras ballants, sa main droite fermement close sur les billets si précieux que son maître lui avait "gentiment donné".

Corry l’attendait déjà, heureux de pouvoir passer une après-midi en ville avec tout cet argent. Il fallait tout de même dire que c’était la première fois depuis plusieurs année que Ludwig prenait une telle initiative, de plus donner son propre argent à ses soumis, Corry se demandait si ça n’était pas une sorte de "paye" qu’on donnait a des prostituées ce qu’ils n’étaient pas loin d’être, surtout aux yeux de leur maître. Mais le blond préférait ne pas y penser et profiter de ces quelques heures de sorties.

 

- Bon Hayden arrête de rêver et dépêche toi sinon on va perdre du temps !

- Oui.

 

Hayden courut vers Corry. Ils partirent ensuite vers le centre ville à la découverte de belles choses qui pourraient les émerveiller. Ils allèrent donc tous les deux vers le centre de la ville. Leur appartements étaient situés assez loin dans la forêt c’est pourquoi ils mirent de longues minutes à atteindre "la civilisation".

A peine arrivés dans le grand centre commercial ils se disputèrent le premier magasin où ils pourraient aller, Corry insistant pour un magasin de chaussures, Hayden pour des habits. Finalement, ils suivirent le choix d’Hayden.

 

 

Ludwig était assit dans la grande chaise de son bureau face à tout ses écrans muraux et accompagné de John.

Sur ses écrans il n’y avait pas les "observations" de sa demeure mais ses chiens. Tous étaient observés par des caméras cachées.  Les yeux du brun voyagèrent sur les différents écrans et s’arrêtèrent sur celui où un bel homme aux cheveux noirs essayait un pantalon et un débardeur moulant.

 

- Le nouveau est vraiment bien, monsieur.

- Oui tu as raison John, la perle rare ! Très timide et méfiant mais si naïf, à croquer !

- Prenez votre temps avec lui !

- Oh ne t’inquiète pas, je ne veux pas l’abîmer trop vite, je le détruirait à petit feu et lorsqu’il sera complètement dépendant de moi je pourrait le laisser.

 


 

Hayden se battait avec un tee-shirt trop serrer qu’il avait du mal à enlever, les bras levés, coincés dans le tissu, et la tête cachée à l’intérieur.

 

- Corry, tu pourrais venir m’aider ?!

- T’aider à quoi ?

- Viens s’il te plait !

- Bon j’arrive.

 

Hayden ne voyait rien mais il entendit son ami pouffer de rire à la vue de la situation dans laquelle était le plus jeune.

 

- Ah, nan mais Hayden ! Y a des fois où t’es vraiment trop nul !

- Ouè bon ça va hein ! C’est pas d’ma faute si ce truc est trop serrer alors aide moi à l’enlever !

- Mhhh… Je sais pas, j’hésite ! J’te laisserais bien coincé là-dedans quelques heures.

- Corryyy…

 

Le blond saisit finalement le bas du tissu et tire difficilement vers le haut pour pouvoir sortir son cadet de cette « emprise ». Une fois libéré, Hayden soupira de soulagement.

Corry ne riait plus, il regardait le corps de son ami, les yeux perdus dans ce qu’il voyait. Il passa lentement ses doigts sur le ventre du plus jeune, là où les marques de violence de leur maître étaient. Il se dit que Ludwig y avait été vraiment fort avec Hayden, surtout pour le premier soir.

 

- Euh… Corry…

- Désolé. Je vais te laisser te rhabiller, je t’attends dehors.

 

Après ces mots le blond sortit de la cabine laissant son cadet seul la tête remplie de question.  Hayden alla payer les quelques habits qu’il avait achetés et il finit par rejoindre son ami pour enfin le suivre dans « son » magasin de chaussures. A peine entré, le blond se dirigea vers les différents rayons à la recherche des paires qui le feraient fondre. Hayden, lui, passait lentement dans le magasin mais il s’arrêta devant une paire de chaussures qu’il trouva magnifique ; des chaussures un peu plus hautes que des baskets normales, du vert et du orange sur les côtés, du "léopard" sur le devant, de l’argenté sur la fine semelle ; il les trouva tellement belles qu’il ne put s’empêcher de les prendre. Il alla à la caisse et sortit s’asseoir sur un banc devant le magasin.

Une vingtaines de minutes plus tard il vit Corry arriver, mes bras charger de sachets contenants des boîtes de chaussures, sept boîtes exactement et toutes de marques.

 

- Wouah Corry t’en a acheté des trucs !

- Bein ouè hein, les chaussures c’est toute ma vie.

- Et il te reste combien avec tout ça ?

- Euh… il doit me rester un peu plus de trois cent euro !

 

Hayden ne put s’empêcher de rire suivit de près par son ami. Corry avait dépensé plus de la moitié de son argent lors qu’Hayden en avait encore les trois quarts, ils trouvaient cette situation assez comique.

Ils allèrent encore dans quelques magasins pour enfin se poser dans un café, profitant de l’argent qui leur restait pour pouvoir manger autant de pâtisseries qu’ils voulaient, ou plutôt autant que leur ventre pourraient en contenir.

Dix neuf heures. Il fallait rentrer, ils se levèrent donc lentement et quittèrent à regret ce petit café où ils avaient si bien mangé, peut-être même trop, et prirent le chemin de la forêt pour retrouver la grande demeure qu’ils avaient quitté quelques heures auparavant.

 

 


Deux silhouettes arrivèrent de derrière les buissons, les deux derniers… Ludwig sourit et se décida à aller les accueillir à l’entrée.

 

- Bonjour mes chéris.

- Bonjour.

- Alors vous avez passés une bonne journée ?

- Oui très bien merci.

- Et t’as acheté combien de chaussures exactement ?

- Sept !

- Ah très bien. Tu veux bien monter ? Il faudrait que je parle à Hayden.

- Oui pas de problème. A toute à l’heure Hayden.

 

Corry sourit à son ami et entra dans la maison laissant à nouveau le plus jeune face à leur maître.

Hayden regardait le sol, il n’osait pas regardé son aîné dans les yeux, il ne bougeait pas. Ludwig brisa le silence en lui demandant le suivre, il se retrouva bien vite dans un grand bureau, il posa ses sachets sur un sofa et détaillait la pièce quand deux bras passèrent autour de ses épaules, il sursauta.

 

- N’ais pas peur petit. Tu as acheté beaucoup de choses ?

- Euh pas… pas vraiment.

- C'est-à-dire ?

- Un pantalon, un débardeur, un gilet et une paire de chaussures.

- Tu me montreras tout ça une fois !

- Oui…

 

Ludwig le fixait à nouveau, Hayden ne put s’empêcher de rougir, il était si intimidé par cet homme. Le brun regardait son chien, il lui passa une main sur la joue, prit dans ses pensées.

Un silence pesant s’était installé dans la pièce, l’ambiance paraissait assez tendue mais cela amusait indirectement Ludwig, il aimait jouer avec ses chiens, les rendre mal à l’aise, les intimider. Il aimait le faire du mal, mais pourtant… Hayden semblait différent… Ludwig voulait indirectement le protéger, le protéger de lui…

 

- Pourquoi est tu si mignon Hayden…
Par Tsukiyo - Publié dans : Sadistic Love [en cours]
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Jeudi 8 mai 4 08 /05 /Mai 17:50
Kyahhhhhhhhhhh `(^o^)/
Bon... J'vous publie le prologue de cette nouvelle fiction' !
[oui oui et après Sadistic Love XD]

Alors bein... Soyez gentils et dites moi c'que vous en pensez mdrrr

Fidlansi : C'est très gentil de me dire de manger du chocolat pour m'aider dans ma "dépression" mais... le problème c'est que ... j'aime pas le chocolat -_-" [oui je suis l'une des rares personne qui, après avoir mangé trois carreaux de chocolat, est écoeurée ^^"] donc voila XD mais bon x)


Bon je prologue est pas super long mais c'est pas grave vous me pardonnerez XD et pour les perso'... enfèt y en a deux principaux ! donc des fois ça sera la vue d'un et des fois la vue de l'autre ! [mais ça vous le remarquerez bien au fur et à mesure XD]
donc voila bzou à tous =)



_________________________________________________________





J’avançais d’un pas lent dans cette petite rue sombre, il était tard, je ne sais pas qu’elle heure exactement, peut-être quatre heures, ou cinq…

J’avais bu, beaucoup, mais malgré le fait que je sois encore maître de mes actes le chemins me paraissait infiniment long c’est pour cela que j’avais pris la décision de passer par une petite ruelle qui me permettrait certainement d’arriver plus vite chez moi. La ville était déserte, il n’y avait plus aucune lumière dans les maisons, seuls quelques lampadaires éclairaient ma route. L’air était frais, la lune ronde.

Je commençais sérieusement à me dire que j’avais eut une mauvaise idée de passer par ces petits endroits sombres me rendant bien compte que ce n’était qu’un détour et non pas un raccourcit mais je continuais mon chemin, faire demi-tour aurait encore rallongé ma route et je n’en avait aucune envie. Essoufflé je décidais de m’asseoir quelques minutes sur un banc, je n’allais pas m’endormir, je le savais !

Un vent glacé passa dans ma nuque, je me retournais, rien. Je scrutais ce qui se trouvait derrière moi, sans rien voir, pour enfin retourné ma tête vers l’avant. Il y avait quelque chose… à quelques mètres de moi, debout près de la barrière, il me fixait…

Je détournai la tête essayant de faire disparaître cette chose, me disant que j’étais victime d’une hallucination ou tout simplement que je prenais une simple ombre pour une personne… mais en regardant à nouveau… cette chose était encore plus proche…

Je la voyais à présent plus distinctement, c’était une personne ! Homme ou femme… je ne savais pas, elle avait de long cheveux, une longue veste noir en cuir, un pantalon lui aussi en cuir, des chaussures avec de grosses semelles compensées. Ses doigts semblaient briller, je m’étais mis à penser au fait que cette personne portait des bagues. Elle s’arrêta… à quelques mètres de moi… peut-être dix. J’étais intrigué, mon corps était secoué de frissons, un vent étonnamment froid m’entourait…

 

- Qui êtes vous ?

 

Elle ne répondait pas… Je commençait à prendre peur, était-elle muette ? Aveugle ? Sourde ? Non non, tout cela était absurde ! C’était une personne tout à fait normale, rien n’était différent !

 

- Que faites vous dehors à une heure pareille de la nuit ?

 

Un homme… sa voix était grave, envoûtante… il avait employé un ton tellement sinistre que la fréquence de mes frissons avaient redoublé.

 

- Je… rentre d’une soirée ! Mais j’ai fait un détour et c’est pour cela que je me retrouve ici…

- Tu es dans ma demeure !

- C’est un banc public.

- Non ! Tu remarqueras qu’à ta droite il y a une grande grille et qu’à ta gauche il y a une maison !

 

Une maison… un château ! Ce fameux château qui était le centre de conversation de tant de gens… ce sombre château qui était victime d’une légende… mais comment…

 

- C’est pourquoi je te demanderais de sortir de te lever et de continuer ta route !

- Euh… oui désolé.

 

Il resta là, debout face à moi, me fixant toujours. Je me levais péniblement et me dirigea vers cette grille, comment avais-je fait pour atterrir ici sans m’en rendre compte ? Je n’avais jamais vu cet endroit, juste entendu… par les rumeurs que lançaient les gens du village.

Une fois sortis de quelques mètre j’entendit un long grincement derrière moi, je me retournais en sursaut, la grille… ce n’était qu’une simple grille que l’on fermait mais pourtant… elle produisait un bruit si froid, si sinistre…

Je commençais à courir voulant arriver le plus vite possible chez moi. Après avoir buté sur plusieurs objets qui se trouvaient sur le sol et avoir manqué de m’étaler de tout mon long sur la route, j’arrivais. Je cherchais rapidement les clefs qui me permettaient d’entrer dans mon habitat. Une fois à l’intérieur je me précipita dans mon lit, sans même prendre la peine de retirer mes habits ou de les changer. Mais… je ne trouvais pas le sommeil…

Je repensais à ce château… celui qu’on disait être une légende et que pourtant j’avais vu… je me souvenais du récit d’une vieille femme du village.

 

« Il y a longtemps, au début du XVIIIème siècle, ce grand château était habité par une famille de bourgeois, un couple et leurs deux enfants, un garçon et une fille. On dit que la nuit il y avait des bruits bizarres, des sortes de grincements, comme si quelqu’un se servait de ses ongles pour gratter aux volets… Des petits claquements, des pas dans les couloirs… tout cela jusqu’à la nuit où leur jeune fils se leva…  il sortit de sa chambre et descendit lentement les marches jusqu’à l’entrée… il n’y avait personne, il décida donc de remonter se coucher quand arrivé dans sa chambre… elles étaient là… les "choses"… c’est comme cela que les gens les appelaient… le pauvre jeune homme était encerclé par ces créature… on dit qu’elles étaient sept. Le lendemain, les parents ne retrouvèrent plus leur enfant, il avait disparut… seul quelques traces restaient sur le planché, des traces de griffures. Pensant que leur fils avait été enlevé, il alertèrent la police et firent plusieurs recherches, en vain. Leur fils avait bel et bien disparut… mais un soir de décembre, le dix, la lune était ronde… le nuit était fraîche… la petite fille se leva et fut étonnée de voir son frère debout, devant son lit. Elle s’approcha de lui et le prit dans ses bras. Il la regardait, posa son doigts sur la bouche de sa sœur… il allait l’emmener avec elle… il passa lentement sa langue sur son cou, la faisant frissonner au passage et planta légèrement ses "crocs" dans la chair douce de l’enfant… Leur parents avaient tout perdu… et finir par partirent eux même voulant vendre la maison qui n’avait jamais été acheté… elle restait inhabitée depuis ce temps là... »

 

C’est ce que disait la légende… deux cent ans… cela s’est produit il y a plus de deux cent ans… cette grande demeure était dite inhabitée alors pourquoi cet homme m’avait-il dit que c’était sa propriété… demain… j’irais voir !

 

_______________________________________

 

 

L’homme s’en allait, je le laissais avancer pour finalement le suivre, refermant la grille derrière moi. Mes yeux se baladèrent inlassablement sur son corps que je voyais de dos, qu’il était beau… s’il n’avait pas été l’un d’eux, je n’aurais pas pus résister…  mais il n’était pas comme moi.

Il marchait, si certain de sa route, quand soudainement, il se mit à courir. N’ayant aucune envie de le courir après lui je me décida à me soulever de quelques centimètres du sol de façon à pouvoir légèrement voler pour aller plus vite. Il s’arrêta devant une maison, la sienne, et y entra précipitamment. De ce point là, je ne pouvais rien y faire et donc je fit demi-tour et rentra calmement au château.

Je m’assis à mon tour sur ce banc. Qu’est ce que cet homme était venu faire ici ? Et surtout, comment avait-il fait pour ne pas remarquer où il était… Il avait bu, oui je le savais… je savais aussi que le sang de cet homme était différent du mien… heureusement qu’il est vite partit sinon je pense que je n’aurais pas pu le laisser… le soleil va bientôt se lever, si il revenait dans la journée… nous ne le verrions pas. Je sais qu’il va revenir ! Qu’il va chercher des explications et…

 

- Lloyd, Rentre il va bientôt faire jour !

- Je sais… laisse moi quelques minutes encore et j’arrive !

 

Royd, mon supérieur, notre supérieure à tous… il voulait que je rentre, alors je rentrerais pour éviter de disparaître à la lumière du jour. Il prenait soin de moi, sous ses airs méchant il savait être bon, envers nous… pas envers eux…

Eux… ça m’était égal qu’il ne les aime pas et qu’il veuille les détruire ! Après tout j’étais pareil... jamais je ne pourrais me mettre contre lui, lui qui m’avait élevé, lui qui m’avait donné la chance d’avoir une autre vie, meilleure…

L’homme qui était assis quelques minutes plus tôt sur ce banc ne me sortait pas de la tête… il paraissait si mignon… cela aurait été dommage de le tuer mais il était comme tous les autres… alors s’il revenait… il faudrait que je m’en occupe, moi ou quelqu’un d’autre…
Par Tsukiyo - Publié dans : Lui ou Elle [en cours]
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